Gastronomie russe
Dimanche, en rentrant d'une cousinade (copyright Zaria) à La Varenne, en voiture, nous nous sommes retrouvés englués dans les bouchons. A tel point qu'en désespoir de cause, mon frère, l'Anglais et moi avons quitté le navire la voiture aux environs de la gare de Lyon pour rentrer en métro. Et alors que Monsieur Tur partait de son côté, nous avons fait escale dans la boutique d'un traiteur russe.
Après un arrêt légitime au rayon vodka - c'est bientôt Noël après tout - où bien entendu l'Anglais n'a pas pu résister à ses origines (biologiques, celles-ci) et a investi. Le commentaire de la vendeuse se voulait rassurant : "Ca se boit comme de l'eau." Ben voyons. Personnellement, je ne pense pas que ça donne la gueule de bois comme de l'eau...
Nous avons ensuite succombé à l'appel du caviar d'aubergine - institution culinaire pour nous deux - et des cornichons à la russe, comme ceux qui traînent dans les frigos de mes parents depuis toujours. L'Anglais a ensuite voulu de la cacha, sarrasin utilisé comme du riz ou des pâtes, gros souvenir d'enfance. J'ai frénétiquement résisté au pain noir - désolée Matou, je ne suis pas ta digne fille - mais nous avons pris des raviolis aux pommes de terre.
Retour à la maison et test desdits raviolis accompagnés de crème fraîche : c'est bon et idéal pour faire des calories par grand froid ! Il ne manquait plus qu'un peu saumon fumé pour parfaire le dîner.